PRÉFACE
Qu’il y ait, dans le récit de Cheikh Hamidou
Kane, une saveur autobiographique, il le reconnaît
volontiers, en ajoutant qu’il s’est aussi inspiré
d’expériences différentes.
Si l’homme est conditionné par son milieu,
Cheikh Kane est bien l’enfant du Foûta, de ce
« Fleuve », qui, au Sénégal, est l’Old Man River des
Toucouleurs. Sa culture maternelle, il la doit à la
langue peule, au pulâr, instrument riche et souple
pour huit cent mille Sénégalais et, de l’Atlantique
au Tchad, moyen d’expression pour ou moins cinq
millions de Peuls.
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